Marc Alyn fut présenté à T’ang Haywen en 1960 par leur ami commun, Raymond Audy. Alyn fut profondément inspiré par l’art de T’ang, en particulier ses peintures à l’encre abstraites, qu’il considérait comme une expression profonde de la nature et de la spiritualité. Dans ses mémoires de 2018, Le temps est un faucon qui plonge, Alyn consacra un chapitre à T’ang, intitulé « Venise chinoise et les lagunes fantastiques de T’ang Haywen ».

En mars 2019, Alyn publia un recueil de poèmes intitulé T’ang l’obscur, Mémorial de l’Encre, un hommage sincère à T’ang Haywen. Le livre était illustré par les œuvres de T’ang, soulignant davantage le lien profond entre la poésie d’Alyn et l’art de T’ang.

L’œuvre de Marc Alyn continue d’être célébrée pour sa beauté lyrique et sa profondeur intellectuelle. Sa collaboration avec T’ang Haywen témoigne de l’interaction puissante entre poésie et arts visuels, ainsi que de l’amitié durable entre deux esprits créatifs.